Il y a très peu de temps encore, elle était ce qu’on pourrait définir comme un reporter électron libre, c'est-à-dire sans attaches contractuelles. C’est à la fois un luxe pour la liberté de mouvements et un handicap pour toute velléité de carrière.
Elle est par ailleurs enseignante vacataire pour l’université de Metz.
Il lui est nécessaire, voire vital de partir à la rencontre de cultures différentes, de se faire raconter la vie ailleurs par des gens ordinaires, des gens sans importance, paraît-il.
Abandonner pour des moments d’espace et de temps suspendus son armure mentale d’occidentale reste son plus grand plaisir qu’elle souhaite vous faire partager à travers tous ces petits bouts de monde que sont les contes.